Ils le suppliaient de leur
laisser toucher ne serait-ce que la frange de son manteau.
Oui, des gens ont fait des kilomètres pour voir Jésus, d’autres
se mobilisent pour lui amener des malades, on le supplie de se laisser toucher…
Et tout ceux qui le touche sont sauvés. Ils sont sauvés, j’entends par là qu’il
ne s’agit pas seulement de guérison corporelle, mais de salut, ce
pourquoi Jésus est venu, ce pourquoi Il s’est fait homme !
Aujourd’hui encore Jésus est là, Il se laisse toucher, mais est
ce que je me déplace pour le rencontrer ? Est-ce que je fais l’effort de
Lui tendre la main ? Est-ce que je pense à lui amener celui qui est malade
dans son corps ou dans son âme ?
Si la foi se perd, c’est peut-être parce que je ne fais pas
assez pour la faire vivre ?
« Je te rends grâce, Seigneur Jésus, et
je te bénis, car tu as donné ta vie pour nous sauver. Tu t’es laissé toucher,
tu as dispensé largement tes dons de la nouvelle création et tu as laissé
puiser en toi les grâces de paix, de guérison, de réconciliation. Je renouvelle
aujourd’hui mon allégeance comme disciple missionnaire de ton Évangile. »
(Père Jaroslav de Lobkowicz, LC)
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