Jésus aime Jérusalem, la
ville sainte, celle du Temple où son Père est adoré. Il pleure parce qu’elle
sera détruite, parce qu’elle n’a pas su reconnaitre le Messie qu’elle
attendait, « parce qu’elle n’a pas reconnu le moment où Dieu la
visitait » !
Aujourd’hui Jésus pleure
encore sur le monde qui n’accueille pas sa Parole, dominé par les égoïsmes et
les violences. Il pleure sur l’Eglise qui ne se montre pas toujours à la
hauteur des exigences de l’Evangile. Il pleure sur moi parce que je ne lui ai
pas ouvert la porte quand Il frappait ; parce que je n’ai pas su
reconnaître le moment où il me visitait.
Jésus pleure mais il me demande de ne pas me décourager,
d’espérer, Il a donné sa vie pour nous sauver. Je redis au Père ma confiance et
mon espérance : « Mon Dieu, j'espère avec une ferme confiance
que tu me donneras, par les mérites de Jésus-Christ, ta grâce en ce monde et le
bonheur éternel dans l'autre, parce que tu l'as promis et que tu tiens toujours
tes promesses. »
Et je poursuis avec cette prière du Père
Philippe : « Seigneur
en ta bonté, ouvre mes yeux que je reconnaisse le temps de ta visite ; sans toi
ma vie n’est que divisions, guerres et ruines : prends pitié de moi et
donne-moi de trouver la paix en vivant de ton Évangile. »
Commentaires
Enregistrer un commentaire