Jaïre, un chef de synagogue croit en Jésus et le supplie de venir sauver sa
fille. Tandis qu’il est en chemin, une humble femme sait que son dernier espoir
est d’approcher Jésus, de simplement toucher son vêtement.
Jésus est venu sauver tout le monde, « puissant ou misérable »,
ce qui compte, c’est la foi, la confiance que nous mettons en sa Parole. A la
femme Il dit : « Ta foi t’a sauvée ? Va en paix et sois
guérie de ton mal ». Croire que Jésus est la vie ; on annonce à Jaïre
que sa fille est morte, le bon sens invite à ne pas déranger le Maître
inutilement, mais Jésus dit simplement : « Ne crains pas, crois
seulement. »
La foi n’empêche ni les souffrance, ni les difficultés, mais elle aide à
les vivre, à les transformer… Seigneur je crois, mais augmente ma foi !
« Je t’exalte, Seigneur : tu m’as
relevé, tu m’épargnes les rires de l’ennemi. Seigneur, tu m’as fait remonter de
l’abîme et revivre quand je descendais à la fosse. (…) Avec le soir, viennent
les larmes, mais au matin, les cris de joie. Tu as changé mon deuil en une
danse, mes habits funèbres en parure de joie. Que (…) sans fin, Seigneur, mon
Dieu, je te rende grâce ! Je crois en toi, Jésus, mon Sauveur et ma joie. Entre
tes mains, je remets ma vie ! » (Prière proposée d’après le Psaume 29)
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