Confiance, ta foi t’a sauvée
Le père Nicolas Tarralle écrit en
conclusion de son commentaire : « Ne croyons jamais que Jésus est trop
occupé pour nous : Il attend notre foi pour la combler ».
Oui, Jésus se laisse déranger, se laisse importuner,
ce qui le met en mouvement, c’est la foi, quelque soit la manière dont elle se
manifeste, dans une grande démonstration : « il se prosternait
devant lui », ou humblement et comme en se cachant : « si je
parviens seulement à toucher son vêtement ».
Et le Père Michel Bertrand écrit, parlant du notable
et de la femme malade : « Tous deux sont portés par la même confiance
et tous deux vont « toucher » Jésus, au propre et au figuré. L’un et
l’autre, si différents, témoignent de la compassion inconditionnelle de Jésus.
Son amour ne fait acception de personne. Il accueille chacun tel qu’il est pour
l’ouvrir à une vie nouvelle. »
« Approchons -nous du Seigneur de la vie, avec
l'audace que l'Esprit met en nous.
Osons l'implorer pour ceux que nous aimons.
Osons, pour nous-mêmes, toucher la frange de son
vêtement de gloire.
Osons garder dans notre main la Main qui nous a
relevé »
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