« Qui donc peut être sauvé ? »
Le chameau, le
trou de l’aiguille, même s’il s’agit de la plus petite porte par laquelle on
entre à Jérusalem, il n’y a rien à faire, ce n’est pas possible, ça ne passe
pas… A moins d’essayer en déposant tout le chargement ! Voilà la solution
déposer tout ce qui nous encombre, avoir l’esprit de pauvreté. Jésus dit :
« c’est difficile pour un riche », pour celui qui est attaché à ses
richesses, à ce qu’il possède. Mais oui le riche peut être sauvé, s’il possède
sans être attaché, s’il gère en respectant et en partageant, et Jésus
ajoute : « Pour Dieu, rien n’est impossible ».
« Il est
donc possible à Dieu de changer le cœur d’un riche pour en faire un cœur de
pauvre, commente Gérard Naslin. Mais une invitation s’adresse à tous :
suivre Jésus, et pour cela, quitter ce qui nous retient sur cette terre.
Alors un héritage nous est promis, celui de la vie éternelle. Seigneur, fais-moi
connaitre dès aujourd’hui la joie de te suivre. Pour cela donne-moi la force
d’abandonner ce qui me retient. »
« Ô Jésus, toi qui as tout perdu, nous te
louons pour le trésor de la vie de grâce que tu nous révèles : à ta suite, je
veux ouvrir mes yeux sur ceux que tu nous offres déjà dans la communion de ton
Église, dans les Écritures et dans l’œuvre de ton Esprit en chacun de nous. Je
te suis avec patience sur le long chemin de ma sanctification et de
l’édification du peuple de Dieu. » (Père Jaroslav de Lobkowicz, LC)
Commentaires
Enregistrer un commentaire